On traverse la campagne, les rizières à perte de vue,les tombes ancestrales au milieu des rizières,
les vieilles cahutes, les villages....le linge est étendu sur des cintres sous les rebords de toits, devant les maisons, les barrieres de train tirées à la main.
Vente de Banh Gio pendant le trajet
En arrivant à la gare d'Haiphong, nous frôlons les maisons des familles ou des petits commerces qui sont à un mètre ou deux des rails, dans l'indifférence des gens.
Mon père est né ici en 1927.
Ses parents habitaient vers l'opéra. Nous y sommes allés, mais bon nous n'avions que le nom de la rue en français. Et puis c'était il y a pratiquement 100 ans.
Nous sommes allés sur la plage de Do Son à 20 kms de Haiphong, une station balnéaire réputée sous la période coloniale...
Nous avons mangé dans un restaurant un crabe que nous avons choisi et des crustacés.
Il est dommage que la plage soit polluée par des détritus, car la côte est belle. On y retrouve un air des plages de l'océan.
Il y a très peu de touristes, seulement des vietnamiens.
Nous rentrons à Hanoï pour la fin de notre séjour
Nous arrivons en gare d'Hanoi tard le soir, la nuit est tombée. Nous suivons le flot de voyageurs qui se dirigent vers la sortie. Nous ne voyons aucun taxi et surtout méfiance avec les taxis non officiels...
Nous décidons de partir à pied, meme si l''hôtel est assez loin.
Il est difficile de se repérer dans ces ruelles et avenues.
Christian s'arrête dans une epicerie et demande s'il est possible d'appeler un taxi.
C'est alors qu'un étudiant qui se trouvait là nous suggère un vtc via l'application "Grab" l'équivalent d'Uber pour l'Asie . Aussitôt dit aussitôt fait avec l'application installée sur son portable .
Une voiture haut de gamme se présente au bout de 20 minutes et nous conduit à notre hôtel pour la somme modique de 70 000 vnd (environ 3 euros ).
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